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Séances de neurofeedback



Diffusion du neurofeedback





 

 


" V o u s   n' i m a g i n e z   p a s   t o u t   c e   q u e   l e   n e u r o f e e d b a c k   p e u t   f a i r e   p o u r   v o u s ! "

 
 

Ils parlent du neurofeedback (ou biofeedback EEG)

 Professionnels de la santé

"D'après mon expérience avec le neurofeedback et le trouble du déficit de l'attention, beaucoup d'enfants parviennent à améliorer leur capacité de lecture et à diminuer leur besoin médicamenteux*. Le neurofeedback aide aussi à réduire leur impulsivité et leur agressivité. C'est un outil performant en partie parce que le patient participe au traitement en prenant plus le contrôle de ses propres processus physiologiques."

Daniel Amen, Neuroscientifique clinique, Psychologue pour enfant et adolescent 


"Pour les maladies chroniques telles que l'épilepsie, la dépression, l'hyperactivité, les troubles de l'alimentation, les blessures au cerveau et autres maux, c'est-à-dire le type de maladies contre lesquelles la médecine conventionnelle n'excelle guère, le neurofeedback est sous maints aspects plus utile que les médicaments, avec beaucoup moins d'effets secondaires."

Jamie Deckoff-Jones, Médecin 


"Le neurofeedback est un de ces outils très accessibles, et c'est un bon outil. Comme tous les outils, il ne marche pas pour tout le monde mais il est bénéfique à la plupart des gens. Il accélère la disparition des symptômes et le développement d'une saine autorégulation, c'est-à-dire qu'il aide le corps du patient à s'auto-ajuster."

Thomas Brod, Psychiatre 


A la suite d'une étude d'une année portant sur 100 enfants atteints de troubles du déficit de l'attention (TDA) :

"Tous ceux qui ont suivi des séances de neurofeedback ont pu réduire leur posologie au moins de moitié* tout en conservant les bénéfices de leur traitement. Et environ 40% ont pu cesser de prendre leurs médicaments*."

Vincent J. Monastra, Docteur, Directeur de clinique 


"En 38 ans de pratique, je n'ai jamais vu aucun traitement qui parvienne à produire les résultats obtenus par le neurofeedback… J'ai vu des résultats atteints en quelques jours ou quelques semaines qui prenaient auparavant des mois ou des années en utilisant les meilleures techniques disponibles."

Jack Woodward, Psychiatre 


"Le neurofeedback améliore l'épilepsie, la dépression, le manque de confiance en soi ou les blessures à la tête congénitales et la 'folie' qui les accompagne souvent… Les patients rapportent qu'ils dorment mieux et se sentent mieux, ils n'ont plus de crises, ils se contrôlent mieux et ils sont plus performants. C'est efficace pour les blessures à la tête. C'est efficace pour les maladies neurologiques chroniques sans blessure mais avec disfonctionnement cérébral. Nous avons eu de bons résultats avec la sclérose multiple, l'encéphalopathie toxique (un empoisonnement chimique dégradant le fonctionnement neurologique par exemple), avec les douleurs chroniques, les migraines et la fibromyalgie."

Jonathan Walker, Neurologue 


"Mon expérience habituelle est que quel que soit le traitement psycho actif, on peut s'attendre à ce que le client puisse réduire la posologie d'au moins 50%* tout en en retirant un meilleur effet et plus de bien être. Si le neurofeedback est pratiqué suffisamment longtemps et au moins deux fois par semaine, il arrive souvent que les clients n'aient plus besoin de leur traitement*."

Steve Ebright, Neuropsychologue 


"Dans l'ensemble, les résultats [de la recherche pour le traitement d'enfants atteints du trouble du déficit de l'attention et hyperactivité - TDA/H] préconisent l'utilisation de traitements multimodaux comprenant des médicaments, une assistance psychologique des parents/de l'école, et le neurofeedback pour le contrôle à long terme du TDA/H. Le neurofeedback en particulier fournit un effet durable même en l'absence de traitement médicamenteux stimulant… Les parents intéressés par un traitement qui ne soit ni médicamenteux ni psychologique peuvent poursuivre l'utilisation de thérapies complémentaires et alternatives. La thérapie la plus prometteuse selon les essais cliniques récents se révèle être celle du neurofeedback."

Katie Campbell Daley, Docteur à l'hôpital pour enfants de Boston et à l'Ecole Médicale de Harvard 


"Le neurofeedback répond aux critères de l'Académie Américaine de Psychiatrie des Enfants et des Adolescents comme recommandation clinique pour le traitement du trouble du déficit de l'attention et hyperactivité (TDA/H), de l'épilepsie, de l'anxiété (Trouble Obsessionnel Compulsif - TOC, Syndrome de Stress Post-Traumatique, phobies), de la dépression, des difficultés de lecture, et de la dépendance à l'alcool ou aux drogues. Cela suggère que le neurofeedback devrait toujours être envisagé par les cliniciens comme méthode d'intervention pour ces troubles."

Les rédacteurs de la revue Child and Adolescent Psychiatric Clinics of North America 


"Ces dernières années, de nombreux professionnels de la médecine ont écrit des livres rapportant les bénéfices du biofeedback face à différents troubles. En outre, de nombreux psychiatres et neurologues ont intégré le neurofeedback dans leur pratique. Malgré cela, les médecins et les professionnels de la santé encouragent rarement à poursuivre des séances de neurofeedback. Leur scepticisme provient de leur manque d'information, d'expérience et d'expertise en neurofeedback, plutôt que d'un problème d'efficacité de celui-ci."

Barry Belt, Psychologue 


"La littérature scientifique […] suggère que le neurofeedback devrait jouer un rôle majeur dans de nombreux domaines difficiles. A mon avis, si n'importe quel médicament avait fait la preuve d'une efficacité aussi étendue, il serait universellement accepté et largement utilisé… C'est un domaine à prendre au sérieux par tous."

Frank H. Duffy, Neurologue, Professeur à l'Ecole de Médecine de Harvard, 
Directeur du département d'imagerie cérébrale de l'hôpital pour enfants de Boston 


"Puisque pratiquement tout le monde à la capacité d'apprendre, la plupart des gens bénéficient du neurofeedback à leur mesure. La plupart des études montrent que 70 à 80 % des patients font d'énormes progrès. Lors de ces études, tous sont traités de la même façon. Du fait que les difficultés cérébrales de chacun sont différentes, nous avons un avantage en situation clinique car nous pouvons adapter le traitement aux besoins de la personne. Cela assure habituellement un meilleur taux de réussite."

Lilian Marcus, Docteur 


"Nous avons réalisé des études décisives indiquant en fin de compte que le neurofeedback fonctionne de façon importante. Le neurofeedback est encore considéré comme une médecine alternative, mais certaines personnes refusent totalement la médecine conventionnelle. Un très grand nombre de gens a vraiment hâte d'utiliser cette méthode."

Eran Zaidel, Professeur de neuroscience comportementale et cognitive 
à l'Institut de Recherche sur le Cerveau de l'Université de Los Angeles 

 

Cliquez ici pour lire d'autres témoignages de professionnels de la santé, spécifiques au neurofeedback dynamique.


* Toujours en accord avec le médecin traitant.

Remarque sémantique : les professions médicales ci-dessus qui pratiquent le neurofeedback parlent de traitement et de patient bien que le neurofeedback ne soit pas en soi un traitement médical. Lorsque le praticien de neurofeedback n'est pas médecin, il utilise habituellement les termes d'exercice ou d'entraînement et de client. En tant qu'association mettant son équipement de neurofeedback à la disposition de ses membres, l'ADNF emploie les termes d'exercice ou d'entraînement et d'utilisateur.
 

 Entraînement de haut niveau

"Le neurofeedback est l'avenir des sports de compétition. Cela ma aidé à me concentrer et à rester détendu malgré la pression."

Richard Faulds, médaille d'Or aux jeux olympiques de Sydney 


"Je pense que toutes les compétitions nécessitent de la concentration. Des échecs aux compétitions de mémorisation et du golf au ball-trap, les champions de demain devront aiguiser leur esprit par le neurofeedback. Le sportif qui ignore cette technologie révolutionnaire sera dépassé."

Dominic O'Brien, World Memory Champion 


"[Le neurofeedback] est un outil qui est ultra complet et ultra puissant. Quand on a un esprit qui cogite beaucoup, ça permet vraiment de recentrer les pensées et d'aller plus loin. C'est un ultra complément à la méditation, c'est un complément à son engagement, que ce soit au niveau de la nutrition, au niveau du sommeil, au niveau du bien-être. [...] Ca a vraiment contribué pour moi, en tant qu'athlète, à affiner ce dont j'avais besoin pour aller plus loin."

Stéphane Tourreau, vice-champion du monde d'apnée 


"J'ai commencé à utiliser le neurofeedback 3 mois avant les championnats du monde, l'incluant comme partie intégrante de ma préparation finale où chaque détail compte. A raison d'une séance par semaine, j'ai d'abord ressenti une meilleure acuité visuelle lors de mes sauts. Ma concentration se maintenait plus facilement dans une durée prolongée et la visualisation de ma chorégraphie s'est également trouvée facilitée. Lors de la compétition, le stress m'a peu affecté et j'étais uniquement absorbé par ma performance. Je peux affirmer que le neurofeedback a participé à ma victoire et je le perçois à mon échelle comme un outil indispensable à une préparation de haut niveau où extraire le meilleur de nous-même est nécessaire."

Noé Pottier, champion du monde de parachutisme en Freefly 


"Plusieurs athlètes ne jurent que par [le neurofeedback] et disent que cela améliore leur performance. Parmi eux, la championne de tennis Mary Pierce et le skieur médaille d'or olympique Hermann Maier, sans parler des divers joueurs de l'équipe de football italienne vainqueur de la coupe du monde 2006. Le but du neurofeedback qui devient de plus en plus populaire pour les professionnels comme pour les amateurs est d'entraîner le cerveau de telle sorte qu'un athlète puisse rester concentré en compétition. […] sur tout le territoire américain, des athlètes ont discrètement entraîné leur cerveau [par le neurofeedback]. Presque aucun n'en parlera. J'ai demandé pourquoi au principal fabricant d'équipements. «Ils ne veulent pas que leurs concurrents sachent qu'ils le font» m'a répondu Larry Klein, le cofondateur de Thought Technology à Montréal. «Car ils s'y mettraient aussi et annuleraient leur avantage»."

D.T. Max, Journaliste à Men's Vogue 

 

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